Joséphine VANCAUWENBERGHE épouse DESCROUET

Joséphine VANCAUWENBERGE, née à Gent (Belgique) le 09 octobre 1854 d’un père militaire et d’une mère ménagère (donc qui faisait des ménages).
Le 09 août 1880, à l’âge de 25 ans, elle épouse d’Anatole Auguste DESCROUET, 26 ans. Elle est papillonneuse – peu de renseignements sur ce métier, juste que cette profession serait en relation avec l’industrie textile, comme le montre ce petit extrait d’un livre  » Recherche dans l’intérêt des familles ».

Extrait du livre  » Recherche dans l’intérêt des familles »

De cette union, naîtront 11 enfants de 1875 à 1901. Pour info, le premier enfant est né 5 ans avant leur mariage, il s’appelait Anatole Joseph – le prénom très similaire au nom de son futur époux peut nous faire penser qu’il en est le père ! Il faut savoir qu’il est parti faire son service militaire en 1874 et le service militaire durait 5 ans à l’époque pour ceux qui n’avait pas tiré le bon numéro ! Ce qui fut certainement son cas puisque 5 ans plus tard, il épouse Joséphine et légitime Anatole ! A l’époque, elle est fille de bureau (secrétaire).

Ils vivent à Roubaix , puis à Croix, et à Toufflers, avant de revenir à Roubaix. Quelques années plus tard, on les retrouve encore à Croix avant de revenir à Roubaix où ils resteront pour finir leur vieux jours.

Joséphine décède à l’age de 67 ans le 8 décembre 1921 à Roubaix. Elle sera inhumée 4 jours plus tard avec un service funéraire de 1ère classe.

Je me suis posée la question sur cette mention de « service de 1ère classe », après quelques recherches, j’ai donc compris qu’il y avait des classes d’enterrement. Voici un extrait d’un article du site : funeraire-info.fr

Les familles choisissaient la classe d’enterrement en fonction de leurs moyens financiers et de leur notoriété, de la première classe, la plus luxueuse, à la dernière, celle des pauvres et des indigents. Lesdites classes définissaient le décorum, de la présence de tentures jusqu’au sonner des cloches de l’église, en passant par le nombre et le poids des cierges déployés.
Il eût été inconcevable de donner à un défunt des obsèques d’une classe inférieure à son rang social, réel ou supposé. Ainsi, des commerçants n’hésitaient pas à se ruiner pour donner à leur défunt des obsèques de première classe, afin de faire croire à leurs concurrents que leurs affaires étaient plus florissantes qu’en réalité.

Rien ne prouve à ce jour qu’ils étaient fortunés, car à cette époque, lui était cafetier. Il avait un café situé 5, rue Neuve à Roubaix qu’il tenait avec un de ses beaux-fils.

 Antonin Paul Amaury Marie BOYERE est un descendant à la 5e génération de Joséphine VANCAUWENBERGHE.

• 1 branche :  Voir

Parenté: 1,56%

 Ascendants d’Antonin Paul Amaury Marie BOYERE jusqu’à Joséphine VANCAUWENBERGHE   Voir

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